CROIRE PRIER GUERIR.
J’ai découvert ce texte de Charly Samson, dans son livre "Guide pratique du magnétisme et du sophromagnétisme" aux éditions trajectoire. Je me retrouve bien dans ces lignes bien que n’étant pas sophoromagnétiseur mais bien radiesthésiste et géobiologue.
CROIRE PRIER GUÉRIR.
Ces mots affichent, une fois de plus, le nombre trois pour aboutir à une réalisation. Il me paraît utile de les commenter afin d’éviter des confusions regrettables, mais toujours possibles.
CROIRE, c’est avoir la foi. Pas forcément une foi religieuse, mais la foi dans toute sa plénitude et en premier lieu, la foi en soi-même. Il est évident que lorsqu’on n’a pas confiance en soi, on s’achemine vers des échecs que l’on programme inconsciemment. Douter de s réussite, c’est visualiser l’échec que l’on craint, c’est en imaginer les conséquences…et l’imagination est créatrice. Avoir confiance en soi permet d’imaginer un chemin de vie favorable et des aboutissements satisfaisants.
Cette indispensable confiance, cette foi en soi et en ses possibilités, ne doit pas dépasser les limites qu’impose la lucidité et conduire vers l’orgueil démesuré et la vanité. En toutes choses une juste mesure est nécessaire. Il en est ainsi entre se surestimer et se dévaluer. Il m’arrive souvent, lorsque je propose un exercice à des stagiaires, qu’on me réponde : « je vais essayer ». Immédiatement, j’écris sur un tableau le mot « essayer » et je le barre de plusieurs traits pour qu’il devienne tabou. On doit agir avec confiance en soi et en sa réussite sans évoquer par un mot la possibilité d’un échec.
La foi spirituelle, la foi en Dieu, quel que soit le nom et les qualités qu’on lui prête, peut nous offrir des avantages pratiques considérables, en évitant les pièges des superstitions.
Le docteur Jean-Pierre Willem dans le numéro 36 du journal « pratiques de santé » du 24 septembre 2005, nous informe des résultats de recherches scientifiques…que bien des sophromagnétiseurs ont anticipé depuis quelques années.
Il cite les conclusions des travaux réalisés par le professeur David B. Larson de l’Université de Duke, en Caroline du Nord (États-Unis). Dans une publication récente, le professeur Larson est parvenu à démontrer que les croyants vivaient en moyenne 29% de plus que les non-croyants. Entre 1977 et 1999, 42 études médicales ont été menées et leur synthèse a donné un résultat qui concerne 126000 personnes.
Ce savant aurait-il encore, enfoncé une porte ouverte ? Nous savons dans nos sciences dites parallèles que « l’élévation de nos vibrations », par la prière, la méditation et certaines formes de relaxation ont des effets thérapeutiques réels.
LA PRIERE serait, selon certains chercheurs scientifiques, capable de « modifier la physiologie du cerveau à court et à long terme ». Cette modification pourrait influer sur la longévité de l’individu…
Le docteur J-P. Willem qui, rappelons-le est un défenseur compétent et convaincu des médecines naturelles, nous donne son opinion : « Je crois pour ma part que la réponse est plus simple et qu’elle tient en un mot : anxiolytique. Peu importe le nom du Dieu qu’elles élisent, la genèse qu’elles décrivent ou la nature du paradis qu’elles promettent, toutes les religions produisent en effet un discours qui, chacun à sa manière, apporte une réponse à ce qui angoisse et étreint l’homme lorsqu’il songe à sa condition : sens de la vie, question des origines, peur de la mort… » Pour le docteur Willem chacun peut trouver refuge dans « sa religion » s’il en suit les préceptes durant sa vie et éprouver ainsi le sentiment de sécurité de faire partie d’une communauté religieuse, ce qui réduit considérablement son anxiété. Et il nous indique que des travaux scientifiques sont en cours qui tendent à prouver que la foi exprimée pourrait être un médicament dans bien des cas même lorsqu’il s’agit de la maladie d’Alzheimer, du sida et de la dépression.
La conclusion du docteur Willem est à citer car elle porte un jugement que je partage sur le comportement de la médecine officielle qui semble s’enfermer dans des convictions surannées : « Ben entendu, la médecine officielle balaie cette piste thérapeutique, d’un air goguenard. Les médecins la négligent à tel point qu’ils ne s’intéressent aux croyances religieuses des patients que pour des raisons administratives ou juridiques et qu’ils n’abordent jamais le sujet avec eux alors que les malades, lorsqu’on les interroge, disent qu’ils aimeraient pouvoir le faire, surtout lorsqu’ils ont à prendre de graves décisions concernant leur santé. Notre siècle sera « spirituel » dit-on partout. La médecine officielle n’est donc pas de ce siècle ».
L’efficacité de la prière est une évidence. Celui qui prie élève son taux vibratoire, sublime et extériorise sa force vitale, que nous appelons magnétisme. Il lance un message porteur de sa demande qui va atteindre on ne sait quelles vibrations, on ne sait où.
Nous savons que la pensée est matérielle et qu’elle est porteuse de nos suggestions à n’importe quelle distance. Nous savons aussi qu’elle atteint sa cible instantanément, ce qui contredisait les lois d’Einstein sur la vitesse de la lumière qui ne pouvait pas être dépassée. Depuis des découvertes scientifiques survenues en 201 l, il est prouvé que des particules peuvent se déplacer à une vitesse supérieure à la vitesse de la lumière, ce qui confirme les pratiques de « magnétisme à distance ».
Ce que l’on sait aussi, c’est que des croyants ayant prié avec ferveur des saints qui n’ont jamais existé ont été exaucés. J’ai observé plusieurs exemples qui confirment qu'une prière n’est jamais perdue et qu’elle rencontre toujours un écho quelque part ; peut être au fond de soi. La force des vibrations émises par des pensées intenses et par des paroles sincèrement vécues peut être adressée à des réalités ou à des mythes. Elle engendre le bien-être produit par son émission et celui provoqué par un mystérieux retour. De plus, l’égrégore que constituent les vibrations des prières et des pensées de plusieurs personnes réunies peut déclencher des résultats inexplicables et parfois spectaculaires, des « miracles», qu’il serait grand temps que nos glorieux scientifiques prennent en compte.
GUERIR ou prolonger la durée de la vie par des remèdes tels que la prière, la relaxation et la méditation, ne coûterait pas cher à la Sécurité Sociale. Mais les médecins pas plus que les responsables des diverses religions, ne sont formés pour mettre en pratique et diriger ces « travaux spirituels »... dont les puissants groupes pharmaceutiques ne voudraient pas.
Pour ma part, et par expérience personnelle, j’affirme que placer une personne en condition de « se guérir» ne peut constituer et ne constitue jamais un « exercice illégal de la médecine». Sans faire la moindre concurrence à ceux qui ont en charge la santé des populations, nous avons le devoir «d’aider les gens à « se guérir eux-mêmes ».
Savoir que la prière est efficace et en conseiller l’usage, indiquer comment méditer sur des pensées positives et spirituellement riches, savoir créer chez quelqu’un un état sophronique de relaxation par la parole et lui permettre d’avoir confiance en lui-même et en sa guérison, ne peut contrarier en quoi que ce soit un traitement médical, au contraire. Apprendre à une personne comment utiliser les vibrations de sa « propre parole » pour améliorer son état en maintes circonstances n’est certainement pas une infraction à la législation, mais un devoir si l’on sait content l'enseigner.
Tous les sophromagnétiseurs doivent agir ainsi avec compétence et générosité pour faire en sorte que, avec leur aide, qui peut paraître ridicule à certains, ceux qui en bénéficient se prennent en charge, ne négligent pas les avis médicaux, mais deviennent aussi leur propre médecin afin de déclencher un phénomène en bien des cas possible d’auto guérison.
Charly SAMSON
Copyright novembre 2014