Selon les géobiologues, des mystérieux réseaux liés au champ magnétique terrestre pourraient avoir une influence sur notre bien être, en particulier si nos réseaux et constructions entrent en conflit avec eux.
Ces phénomènes invisibles dont se préoccupent les géobiologues impactent-ils vraiment notre santé ? Et si oui, comment ?
Très peu d’études ont été, en réalité, effectuées sur la géobiologie. Si la plupart datent un peu, elles sont été réalisées par des médecins ouverts sur l’invisible. A la fin du 19ème siècle, le Dr Alfred J. Haviland, auteur de Géographie des maladies du cœur, de la phtisie et du cancer, présente devant la Société de Médecine de Londres, sa « médecine géographique ». Il affirme que la maladie peut être en relation avec le lieu de vie ou de travail d’une personne, en particulier avec la teneur du sol en certains minéraux ou la présence de veines d’eau souterraines. En France, le Pr Arsène d’Arsonval, médecin, biologiste et physicien, membre de l’Académie de médecine et de l’Académie des sciences, présente, en 1927, les résultats de ses recherches : un nombre important de cancers semble apparaître chez des personnes habitant des maisons bâties sur une faille géologique. La même année, Georges Lakhovsky, ingénieur russe vivant entre la France et les Etats-Unis, publie ses travaux dans un ouvrage intitulé Contribution à l'étiologie du cancer, qu’il présente devant l'Académie des sciences de Paris. A partir de données démographiques, d'études géologiques, et de statistiques sur la répartition des cancers, il établit des cartes de France et de la ville de Paris, mettant en évidence un lien entre la nature géologique du sol et les zones à cancers.
De 1932 à 1939, l’ingénieur Lienert et le docteur Jenny effectuent, eux aussi, de très nombreuses expériences géobiologiques, en Suisse, sur des souris de laboratoire qu’ils ont installées dans des caisses en bois longues de trois mètres, posées à cheval entre une zone neutre et une zone perturbée par la présence d’une veine d’eau souterraine. Systématiquement, les souris faisaient leur nid en zone neutre. Et chaque fois que l’on tournait les cages de 180 degrés, les souris se déplaçaient avec leurs petits en zone neutre. Chaque fois que l’on a forcé les souris à rester en zone perturbée, elles sont tombées rapidement malades, ont perdu du poids, et présenté, après quelques mois, des tumeurs en grand nombre. A l’inverse, les souris, libres de choisir leur place, demeuraient, quant à elles, en bonne santé. Sur les 24000 souris étudiées durant cette période, il fut établi que celles qui étaient placées en zone neutre paraissaient calmes et avaient trois fois plus de petits que celles placées en zone géo pathogène, lesquelles étaient irritées, rongeaient les treillis de leurs cages, mutilaient leurs petits, et avaient 30 % de tumeurs en plus que les souris témoins.
Des recherches sur le lien santé-habitat Ce sont surtout les études faites au Forschungskreis, un centre de recherches créé par le Dr Ernst Hartmann, père de la géobiologie moderne, qui ont approfondi le sujet. Dès le début de sa carrière, Hartmann remarque un taux de mortalité plus élevé chez les patients installés dans certains lits - schéma qu’il retrouve à l’identique sur plusieurs étages. Il en arrive à penser que des phénomènes telluriques invisibles, émanant du sous-sol, pourraient en être la cause. Dès 1948, il décide de se consacrer intensivement à des recherches en radiesthésie et en géobiologie. Au travers de son centre, il réalise alors de nombreuses études en utilisant notamment le géorythmogramme – un test biophysique qui consiste à mesurer la résistance électrique de la peau. Il observe alors d’importantes variations liées au milieu ambiant : selon l’endroit où se trouve le « cobaye », son organisme réagit différemment. S’appuyant aussi sur des analyses sanguines, le Dr Hartmann met en évidence une baisse de la qualité magnétique du sang en zone perturbée ainsi qu’un changement de vitesse de sédimentation.
Plus récemment, le Dr Loïk Lamballais, ancien médecin acupuncteur, physicien versé dans la géobiologie, et directeur de recherches physique-environnement à l’Université de Rennes, aujourd’hui consultant scientifique européen santé-habitat, a lui aussi réalisé des tests. « J’ai pu vérifier, lors d'une étude en hôpital, qu'un changement de lieu – de chambre, de lit - avait une influence sur le tonus musculaire, en corrélation avec le sous-sol. Sur une zone considérée comme perturbatrice ou « interférente », on assiste à une augmentation du niveau de stress du sujet. Quand nous sommes influencés par un phénomène, même si nous n’en avons pas conscience, le tonus musculaire de référence - un système relié au stress qui dépend principalement du système neurovégétatif ortho et parasympathique - va être modifié. »
A ces phénomènes invisibles provenant du sous-sol de la Terre, s’ajoutent les nouvelles technologies de notre civilisation moderne qui reposent sur l’utilisation intensive d’ondes électromagnétiques : wifi, antennes relais, radars... Des ondes qui, d’après de nombreuses recherches, affecteraient notre santé : « Nous sommes tout le temps environnés d’un brouillard électromagnétique qu’on ne voit pas, qu’on ne sent pas, et qui a des effets nocifs sur nous à la longue », affirme le Pr Luc Montagnier, biologiste, prix Nobel et professeur émérite à l’Institut Pasteur.
L’Homme, émetteur et récepteur de champs électromagnétiques.
Comment tous ces phénomènes invisibles – naturels ou artificiels - pourraient-ils affecter notre santé? Pour comprendre, il est indispensable de sortir de notre représentation mécaniste de l’être humain. Nous sommes certes constitués de chair et d’os mais nous sommes aussi des êtres énergétiques. Ceci n’est plus un simple postulat ésotérique mais le résultat de recherches scientifiques. Nous produisons en permanence des champs vibratoires électriques et magnétiques. En effet, chacun de nos battements de cœur produit une impulsion électrique envoyée au reste du corps. Ce courant électrique transitant par un conducteur – le sang – implique la création d’un champ électromagnétique. Le plus puissant est celui du cœur, puis vient celui des yeux. De la simple cellule - des petites usines électromagnétiques - au corps entier, nous sommes un concert de fréquences, de symphonies sonores, lumineuses et électromagnétiques. Des pionniers comme le professeur Harold Saxton Burr, suivis par de nombreux autres chercheurs, ont même démontré que la progression de diverses pathologies s’accompagnait de changements dans la conductance électrique des tissus atteints.
Corollaire de ce constat, c’est avec des rayonnements et des champs électromagnétiques qu’on a imaginé des traitements pour venir à bout de certains problèmes de santé. Les rayons X, par exemple, sont des ondes électromagnétiques irradiantes qu’on utilise en radiothérapie pour provoquer des réactions physico-chimiques dans le noyau des cellules cancéreuses. Beaucoup moins corrosives par leurs basses fréquences, d’autres technologies appelées PEMF (Pulsed Electromagnetic Field Therapy) ou CMP (Champs Magnétiques Pulsés) sont utilisées depuis de nombreuses années par certains médecins, kinésithérapeutes, ou orthopédistes, pour soulager efficacement certaines douleurs articulaires, inflammatoires, et musculaires, mais aussi la migraine, les douleurs cervicales, le stress... Pour récolter de précieuses informations sur notre état de santé, plusieurs examens par imagerie médicale se servent également d’ondes qui vont interagir avec notre propre champ magnétique. C’est le cas de la radiographie et du scanner qui utilisent des rayons X mais aussi de l’IRM (Imagerie par résonance magnétique). Cette technique récente consiste à faire vibrer les noyaux d’hydrogène qui composent les tissus de notre organisme, à l’intérieur desquels des protons vont agir comme autant de petits aimants. En vibrant, ils vont alors émettre des signaux qui vont être captés par une antenne avant d’être transformés en images.
Si des ondes peuvent interagir avec nos propres cellules à des fins thérapeutiques ou en imagerie médicale, pourquoi les autres ondes, celles que traquent les géobiologues, ne pourraient-elles pas interférer de la même manière sur le corps humain ?
Le corps humain : une antenne radio?
Le corps humain semble constituer un système ouvert à des informations vibratoires. Pour s’en convaincre, il suffit simplement de toucher l’antenne radio de votre voiture pour constater qu’immédiatement votre poste ne grésille plus. Une petite expérience qui démontre que nous réceptionnons des champs d’informations invisibles, et que nous avons tous la faculté de capter des signaux transmis dans le temps et dans l’espace.
« Notre corps fonctionne comme un récepteur radio qui peut grésiller lorsque les ondes qu’il reçoit sont incohérentes avec son propre système oscillatoire, confirme le Dr Gérard Dieuzaide, chirurgien dentiste, et diplômé universitaire de posturologie, spécialisé depuis une dizaine d’années dans l’impact des ondes électromagnétiques sur l’être humain. Les tests posturaux permettent de mettre en évidence de façon spectaculaire l’impact de cette réalité sur un organisme, et ainsi de relier l’invisible au visible. Quand nous recevons une information vibratoire nocive, l’hémicorps (la moitié du corps lorsque le corps est vu comme un hémisphère) qui l’accueille va se contracter, se tendre, créant ainsi un différentiel de tensions entre l’hémicorps gauche et l’hémicorps droit. Ainsi, de manière tangible et reproductible, on constate qu’en plaçant une personne à un endroit dans une pièce, elle va rencontrer un blocage au niveau de l’amplitude des mouvements articulaires - des difficultés à effectuer une rotation de la tête, à lever les bras ou la jambe - mais si vous la déplacez de quelques mètres, dans une zone blanche, c’est-à-dire sans ondes électromagnétiques, ces blocages disparaîtront. Ces tensions se localisent d’un point de vue anatomique au niveau du système tonique postural, qui est un système réflexe. En médecine quantique, on considère que les cellules de notre corps communiquent entre elles de façon « radio-diffusique ». En effet, la vie ne se limite pas à des réactions moléculaires chimiques, mais se décompose aussi en des mécanismes encore plus subtils. De grands noms de la science de la biophysique nous confirment aujourd’hui que les réactions chimiques de nos cellules sont sous la dépendance de, ou au moins influencées par, cet échange vibratoire. On a plus le droit aujourd’hui de passer à coté de cette réalité. Le nier, dire « je n’y crois pas » est un comportement léger, pour ne pas dire irresponsable. » Ces constats scientifiques font écho aux pratiques des géobiologues qui traquent ces ondes nocives environnantes.
La science sait également depuis les années 60 que l’être humain – comme les autres êtres vivants - est sensible aux variations du champ magnétique terrestre. L'Institut pour la psychologie du comportement Max-Planck en Allemagne avait à l’époque réalisé pour la NASA une série de recherches au profit des astronautes, permettant d’observer les effets biologiques d’un isolement du champ magnétique terrestre, avec l’aide de volontaires enfermés dans un bunker. « La perception du temps mais aussi la grille du sommeil se modifient de manière frappante, explique le biophysicien allemand Dieter Broers, spécialiste des phénomènes électromagnétiques ambiants. On a également pu observer des dysfonctionnements du cycle de menstruation chez les femmes, des modifications de la température du corps ainsi qu’un stress psychique chez les volontaires. Cela signifie qu’en nous, tout obéit à une horloge extérieure qui semble synchroniser les vibrations propres au corps. Il semble que ces rythmes propres à notre corps soient calibrés par des champs naturels que la terre met à notre disposition. » On sait aussi aujourd’hui que le soleil envoie continuellement vers la Terre un courant de particules chargées – le vent solaire -, qui déforme ce champ magnétique terrestre. Un phénomène naturel capable de mettre hors service nos réseaux de distribution électrique, et qui peut aussi avoir des effets sur nos deux principaux systèmes électriques, notre cœur et notre cerveau. « Il existe des relations avérées entre l’intensité et les variations du champ magnétique terrestre d’une part et les états d’humeur et de conscience de l’homme de l’autre, explique le biophysicien allemand Dieter Broers. Des études ont clairement établi des liens entre certaines irrégularités magnétiques et le nombre d’entrées en clinique psychiatrique, d’accidents de la circulation ou de suicides. Des scientifiques de la NASA, parmi lesquels le professeur Franz Halberg, ont réussi à établir le lien direct entre l’augmentation d’infarctus et les modifications magnétiques sur terre, générées par le soleil. »
En rétablissant l’équilibre de ces mystérieux réseaux telluriques qu’ils disent liés au champ magnétique terrestre et perturbés par nos constructions modernes, les géobiologues ne seraient-ils pas en cohérence avec ces nouvelles découvertes?
Enquête INREES mars 2015 par Miriam Gablier
MON PREMIER BONUS
Extrait de Mater Nostra de Georges PRAT et Constant SCHOHN
Constitution de la terre :
1. Barysphère
2. Pyrosphère
3. Lithosphère
4. Rayonnement des métaux : Résilles
Etude géobiologique.
Selon la loi de Planck, tout métal chauffé irradie, et cela d’autant plus qu’il est chauffé davantage. Nous savons que le centre de la terre est une sphère de métal en fusion constitué essentiellement de fer et de nickel. Rien ne peut irradier davantage. Autour de cette sphère liquide il y a une autre sphère, pâteuse qui contient, fortement chauffé, tous les autres métaux que nous utilisons.
Tous les métaux, dont les minerais sont sous nos pieds, envoient à la surface du globe des radiations sous forme de résilles, qui sont de véritables « murs » d’énergie perpendiculaires entre eux. Chaque métal a sa résille particulière, d’autant plus serrée que sa quantité est importante dans le sol. Pour les métaux rares, il y a peu de rayonnements. Ainsi l’or ne se rencontre que tous les quatre cents kilomètres quand le nickel est perceptible tous les deux mètres…
Ces résilles d’énergie dégagées par les radiations des métaux chauffés se présentent suivant le longueur d’onde du métal, soit parallèlement et perpendiculairement à l’équateur (c’est-à-dire Ouest-Est et Nord-Sud), soit à quarante cinq degrés par rapport à lui, dans les deux sens.
Ainsi le nickel et l’or suivent les méridiens et les parallèles terrestres, le fer et l’argent à quarante-cinq degrés. L’épaisseur des murs radiants est également différente suivant les métaux. Le nickel a les murs les moins épais, avec 20,7 cm ; le cuivre se satisfait de 29,7 cm : l’argent monte à 36 cm et l’or atteint 72 cm : c’est la plus forte épaisseur.
Curieusement ces résilles qui peuvent être carrées ou rectangulaires, serrées ou lâches, ont toutes un point commun : après neuf rayonnement normaux, il se produit un rayonnement double, dans les deux sens.
Ainsi le neuvième mur du nickel se retrouve avec une épaisseur de 41,4 cm et celui de l’or avec 144 cm.
Il y a trois métaux dont les résilles fonctionnent ensemble et qui sont particulièrement bénéfiques à la santé de l’homme : ce sont l’or, l’argent et le cuivre. Si le cuivre est très répandu et possède une résille serrée, l’or est rare et sa résille aussi.
La résille double de l’or (épaisseur 144 cm ne se trouve qu’à l’équateur et sur deux parallèles. Dans le sens nord sud on ne rencontre que quatre cercles méridiens. Le réseau de l’or ne produit que vingt six croisement (dont deux aux pôles). Ce sont les endroits les plus dynamiques de la terre et les meilleurs pour notre santé : c’est la raison pour laquelle les édifices les plus sacrés du monde se trouvent implantés là. Si l’on tient compte du fait que la surface de la mer est bien plus importante que celle de la terre, le nombre de croisements de l’or accessibles sur la terre se restreint fâcheusement. Si l’on s’aperçoit ensuite que certains croisements se font à l’aplomb de montagnes infranchissables ou de déserts absolument inhabitables, il ne reste pas grand-chose à utiliser. En Europe, nous n’avons que la cathédrale de Chartres, dont l’autel est posé exactement sur le croisement double de l’or. Le seul endroit en Asie est Lhassa, au Tibet, ce qui explique, partiellement cette civilisation à l’existence difficile. En fait, il n’y a sur terre que deux croisements doubles de l’or utilisés. En revanche, il y a des croisements simples en Égypte, au Mexique, au Pérou, en Chine ou en Russie.
MON SECOND BONUS :
Le centre de la Terre a révélé de nouveaux mystères Le HuffPost
Par Maëlys Peiteado Publication: 11/02/2015
Une équipe sino-américaine de chercheurs a fait une découverte aux entrailles même de la Terre: son noyau interne cacherait... un autre noyau en son sein! Grâce aux ondes sismiques et une nouvelle application de la technologie de lecture des tremblements de terre, ils ont pu sonder le cœur de la planète et y trouver le noyau-du-noyau-interne-terrestre. D'abord représenté comme une boule de fer solide, celui-ci présente des propriétés particulières, plus complexes. L'étude a été publiée dans Nature GeoScience. Conjointement, et à la manière des médecins qui examinent l'intérieur des patients grâce aux ultrasons (lors d'une échographie par exemple), les chercheurs de L'Université de l'Illinois et ceux de l'Université de Nankin, en Chine, ont mesuré comment les ondes sismiques résonnaient et voyageaient à travers la Terre, au lendemain des séismes survenus entre 1992 et 2012. Les données de ces ondes, appelées la coda, offrent des informations sur le centre de la Terre et son contenu.
En gros, "un tremblement de terre ressemble à un marteau frappant une cloche", explique l'auteur de la découverte. "Comme quelqu'un entendrait le ton clair qui résonne après le coup de cloche, les capteurs sismiques perçoivent un signal cohérent dans la coda", assure-t-il dans un communiqué. Cette méthode basique existe depuis un certain temps, mais elle était utilisée pour d’autres types d'études, à la surface de la planète. Le noyau du noyau du noyau...
Rappelons que le noyau terrestre de base est composé de deux parties, l'une externe et liquide, composée à plus de 80% de fer, et l'autre interne et solide, composée d'un alliage de fer et de nickel. Il faut aussi souligner que le noyau-du-noyau-interne, récemment mis en lumière, présente lui même deux régions distinctes (externe et interne). "Le fait que nous ayons ainsi deux parties vraiment différentes peut nous apprendre quelque chose sur la façon dont le noyau interne, qui pourrait avoir subi de lourdes et dramatiques transformations, a évolué. Et par conséquent, apprendre comment la Terre s'est formée", affirme le Docteur Xiaodong Song, professeur de géologie à l’Université de l'Illinois et co-auteur de l'étude liée à la découverte.
La récolte de données d'ondes sismiques a donc permis de déceler le cœur de ce noyau-du-noyau, et de ses deux régions distinctes. Elles suggèrent que les cristaux de fer qui se trouvent dans sa partie externe ont un alignement nord-sud, tandis que dans sa partie plus profonde, ils pointent dans une direction est-ouest. Ces cristaux aux directions divergentes se comportent aussi différemment les uns des autres, impliquant ainsi le fait qu'il en existe différents types. Cette illustration du "noyau-du-noyau" de la Terre montre cette différence d'alignement entre les deux parties distinctes :
Le noyau terrestre en deux parties : (noyau liquide externe en jaune et noyau interne solide en orange. Celui-ci se diviserait en un autre noyau interne : noyau du noyau interne en rouge, où les cristaux seraient orientés dans des sens différents...
TROISIÈME BONUS.
Cette différence d’orientation peut peut-être expliquer la différence d’orientation des maillages des réseaux Hartmann (nickel) et Cury (fer).
La cathédrale de Strasbourg est traversée par un courant or double dans le sens est-ouest et par un courant d’or simple dans le sens nord-sud. L’intersection de ces deux courants N-S et E-W se situe …à l’aplomb de l’autel !
Le courant double passe par la cathédrale de Chartres et le courant simple nord-sud passe près de Tamanrasset, en traversant exactement l’ermitage de Charles de Foucauld, né à Strasbourg en 1858.
Troublantes coïncidences !!!