Dans la vidéo du 29 novembre, j’ai évoqué la notion d’intrication quantique pour « expliquer » ma façon de procéder :
J’utilise un scripto-pendule pour tracer les principales perturbations et cela aboutit à ce type de plan que je laisse aux propriétaires.
Je pars de l’idée que ce plan reflète la réalité : c’est ce que l’on appelle l’intrication quantique. Ce plan me libère des contraintes de tables, de chaises, de canapés qui entravent mes déplacements. Bien sûr je vérifie par après la véracité de mes recherches sur papier en les confrontant au réel.
Durant une de mes analyses, le propriétaire qui possède un géo-magnétomètre a confirmé mes relevés sur plan en relevant des différences au niveau du champ magnétique terrestre. Cet appareil malheureusement ne distingue pas (encore) les courants et zones telluriques bénéfiques de ceux qui sont perturbants !!!
Selon mon « code couleurs », j'en arrive au plan ci-contre (exemple factice)
En rouge : zones et/ou courants telluriques perturbants
En bleu : zones et/ou courants telluriques bénéfiques
En noir : vecteur spirituel -
En jaune : vecteur spirituel +
+ Lignes pleines : réseau Hartmann (Nickel)
+ Lignes pointillées : réseau Cury (Fer)
Ces deux réseaux, les plus fréquents, sont la « signature » de chaque métal à la surface terrestre qui peut être détectée par radiesthésie. Cette signature serait en rapport avec une des lois de Planck. Pour la petite histoire, les réseaux Hartmann et Cury s’étirent et se resserrent parfois surtout autour d’un lieu sacré : église romane en particulier.
L’intrication quantique
Record : une information a été téléportée à 25 km !
Cette expérience de physique quantique repose sur l’intrication de deux photons. C’est une expérience ébouriffante du monde subatomique que vient de réussir le Groupe de physique appliquée de l'université de Genève dirigé m Nicolas Gisin : une téléportation quantique sur une distance de 25 km de fibre optique.
Concrètement, il s’agit d’envoyer dans deux supports différents deux photons provenant d’une même source. Le premier, A, part dans une fibre optique longue de 12,5 km tandis que le second, B, est stocké dans un cristal. Un troisième photon, C, ayant parcouru 12,5 km au sein d’une autre fibre optique, rencontre A et le « percute ». Cet « impact » anéantit A et C. Mais l’état de C, aussi surprenant que cela puisse paraître, se retrouve dans B ! Car en percutant A, C a aussi marqué B, pourtant situé à des kilomètres de fibre optique.
Comment expliquer ce surprenant résultat ? « La physique quantique stipule que les photons A et B, même séparés par des milliers de kilomètres, forment – du point de vue de la mécanique quantique - un seul objet: ils sont intriqués », explique Félix Bussières, premier signataire de l’article. Tout changement sur l’un peut être mesuré sur l’autre, au sein du cristal.
Source : Sciences et Avenir – janv./févr. 2014
L'analyse des lieux sur plan et sur place me permet de tester immédiatement mes recherches pour les confirmer ou les affiner.
Il est bien sûr également possible d'effectuer ce travail à distance, sur un plan comportant la trace du nord magnétique et de me l'envoyer par mail, par exemple.
Pour en savoir plus sur les pouvoirs de la pensée